
Nouveau départ, c’est la fin de la deuxième étape : Algeciras. La fin de notre virée en Espagne. Aujourd’hui 6 août (je suis incapable de vous dire quel jour de la semaine) nous embarquons (au propre comme au figuré) vers le continent africain.
Le matin nous avons pris notre dernier petit déj’ avec les scouts andalous, puis assez rapidement l’heure de charger les bagages a sonnée. Nous avons quand même pris le temps de remercier nos hôtes qui ont reçu des présents et notamment une plaque en verre gravée « Caravane de la Paix » ; qui a, comme ne manque pas de le souligner Jean-Jean (Jean-Armand Declerck) une forte symbolique dans la mesure où le verre est fait de sable et que la caravane devra encore parcourir bien des kilomètres dans le désert …
11h05 nous quittons le local scout situé sur les bords de la plage, direction le port. Nous pensions éventuellement être en retard pour l’embarquement ce qui ne fut pas le cas et pourtant nous n’avons pas pu monter dans le ferry de 13h. Et pour cause : pas de place pour le bus. Prochain ferry : 14h30, « que faire pour tuer le temps ? » Manger, bien sûr ! De fait, nous avons fait un gros pique-nique à l’entrée du hall de départ.
Les premiers arrivants sur le bateau ont été les conducteurs des véhicules (Maxime pour NPDC et Fred pour Midi-Py). Une fois dedans, hé bien il n’y avait plus qu’à attendre trois heures. Pourtant, on a vu des publicités où il été écrit « Tanger – Espagne, 35 min » ! Nous avons trouvé de quoi passer le temps en admirant la mer, mangeant des sardines, dormant, chantant. Plein de ressources. D’après ce que je sais, personne n’a eu le mal de mer, à part quelques légers, légers haut-le-cœur. Nous perdons deux heures par rapport à l’Espagne. Et enfin 17h30, Tanger, Maroc, Afrique. Qui manque à l’appel ? Deux afro-jojo de Midi-Py. Et oui, Julien et Guilhem se sont endormis sur l’un des ponts du ferry. Mais bon on aurait presque pu attendre qu’il finissent leur sieste, étant donné que nous avons du attendre environ 1h30 avant de voir les véhicules passer la douane. Nous commençons à développer une patience qui nous sera très utile dorénavant. Et la journée n’est pas finie : après un chaleureux thé à la menthe avec des gâteaux marocains d’accueil, il nous reste 300 km à parcourir pour arriver, de nuit, à Rabat. Une chose est claire, nous tenons bien la route !
Le matin nous avons pris notre dernier petit déj’ avec les scouts andalous, puis assez rapidement l’heure de charger les bagages a sonnée. Nous avons quand même pris le temps de remercier nos hôtes qui ont reçu des présents et notamment une plaque en verre gravée « Caravane de la Paix » ; qui a, comme ne manque pas de le souligner Jean-Jean (Jean-Armand Declerck) une forte symbolique dans la mesure où le verre est fait de sable et que la caravane devra encore parcourir bien des kilomètres dans le désert …
11h05 nous quittons le local scout situé sur les bords de la plage, direction le port. Nous pensions éventuellement être en retard pour l’embarquement ce qui ne fut pas le cas et pourtant nous n’avons pas pu monter dans le ferry de 13h. Et pour cause : pas de place pour le bus. Prochain ferry : 14h30, « que faire pour tuer le temps ? » Manger, bien sûr ! De fait, nous avons fait un gros pique-nique à l’entrée du hall de départ.
Les premiers arrivants sur le bateau ont été les conducteurs des véhicules (Maxime pour NPDC et Fred pour Midi-Py). Une fois dedans, hé bien il n’y avait plus qu’à attendre trois heures. Pourtant, on a vu des publicités où il été écrit « Tanger – Espagne, 35 min » ! Nous avons trouvé de quoi passer le temps en admirant la mer, mangeant des sardines, dormant, chantant. Plein de ressources. D’après ce que je sais, personne n’a eu le mal de mer, à part quelques légers, légers haut-le-cœur. Nous perdons deux heures par rapport à l’Espagne. Et enfin 17h30, Tanger, Maroc, Afrique. Qui manque à l’appel ? Deux afro-jojo de Midi-Py. Et oui, Julien et Guilhem se sont endormis sur l’un des ponts du ferry. Mais bon on aurait presque pu attendre qu’il finissent leur sieste, étant donné que nous avons du attendre environ 1h30 avant de voir les véhicules passer la douane. Nous commençons à développer une patience qui nous sera très utile dorénavant. Et la journée n’est pas finie : après un chaleureux thé à la menthe avec des gâteaux marocains d’accueil, il nous reste 300 km à parcourir pour arriver, de nuit, à Rabat. Une chose est claire, nous tenons bien la route !