Soirée tranquille, la journée suivante est chargée en surprises et problèmes divers. Ce jour la nous sommes allés à la frontière mauritanienne.
Tout d’abord deux pneus éclatent. Nous nous sommes alors arrêtés pour voir comment arranger l’affaire. A gauche de la route, un panneau nous indique un danger de mines !
Ces champs datent du conflit sahraoui marocain. L’ambulance, quant a elle a déclaré forfait après deux crevaisons. Yurena et Gwen au milieu du désert ont gardé la voiture, tandis que Pascal et Céline sont allés chercher des pneus de rechange à Dakhla.
Si le bus a pourtant bel et bien repris sa route, les mésaventures n ont fait que continuer.
Tout d’abord deux pneus éclatent. Nous nous sommes alors arrêtés pour voir comment arranger l’affaire. A gauche de la route, un panneau nous indique un danger de mines !
Ces champs datent du conflit sahraoui marocain. L’ambulance, quant a elle a déclaré forfait après deux crevaisons. Yurena et Gwen au milieu du désert ont gardé la voiture, tandis que Pascal et Céline sont allés chercher des pneus de rechange à Dakhla.
Si le bus a pourtant bel et bien repris sa route, les mésaventures n ont fait que continuer.
2 commentaires:
à vous lire, je repense au long et victorieux combat des ONG pour l'interdiction des mines anti-personnelles. Si la fabrication en est maintenant interdite (la Chine et les Etats Unis continuent d'en produire, n'ayant pas ratifier la convention), combien de victimes feront-elles encore ? Heureusement, il ne s'agissait ici que de pneus...
Bruno VOIRNESSON
La France a donné à l'Algérie la carte des mines anti-personnelles encore enfouies dans leur sol.
Pour celles du Sud Maroc j'imagine que l'info doit bien exister quelque part ?
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